Les attentes vis-à-vis des entreprises de l’UE sont sérieusement montées d’un cran avec la CSRD !
Mais il serait pourtant réducteur de voir à travers la CSRD seulement un nouveau référentiel règlementaire. Il faut plutôt l’identifier comme un nouvel outil de pilotage pour les entreprises et une nouvelle clé de lecture de leurs performances « de durabilité » à destination de leurs parties prenantes, les banques, leurs investisseurs (en fonds propres ou en financements plus classiques), les clients, les futurs salariés…
Pour les entreprises (ou groupe d’entreprises) entre 250 et 500 salariés cela constitue tout de même une marche importante en fonction de leur maturité RSE, ou leur culture du reporting.
Chez POSITIF IMPACT nous appelons la CSRD « la carte de durabilité » de l’entreprise.
1. Evaluer votre maturité
- Comprendre les enjeux de la nouvelle réglementation CSRD ou de sa version PME/PMI la VSME pour votre activité
- Analyser le niveau de votre reporting extra-financier
- Ecrire et organiser votre feuille de route de durabilité
2. Réaliser votre matrice de double matérialité
Un objectif => lister les sujets matériels pour votre activité :
- Analyser votre chaine de valeur et lister les IROs potentiels
- Cotation des IROS selon leur matérialité d'impact et matérialité financière
- Définir des seuils retenus pour identifier les enjeux significatifs retenus
3. Structurer le reporting selon les normes ESRS
Mise en place des indicateurs selon le référentiel ESRS. En fonction de votre activité et des enjeux majeurs issus de votre matrice de double matérialité vous aurez à reporter ou pas un certains nombres d’indicateurs des 12 familles des ESRS.
- Analyse de double matérialité et cartographie des risques
- Analyse de la maturité du reporting actuel
- Création des indicateurs selon la norme ESRS
- Rédaction du rapport de durabilité
En anticipant la mise en conformité ESRS, vous vivez la compléxité de cette mise au norme en toute quiétude